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PILLAGE du Québec - URGENCE D'AGIR

Article original    QUÉBÉCOIS, URGENCE DE LIRE ET DE PRENDRE CONSCIENCE

 
" Je vous en prie à deux genoux, lisez la séquence très partielle qui suit. Cela doit vous convaincre de la nécessité de modifier nos mentalités. "
1. 1994 Le Québec fait des règles concernant le déroulement d'un prochain référendum, une loi définit les dépenses devant être respectées pour le Oui et pour le Non.

2. 1995, Référendum sur la souveraineté. Les fédéraux, en plus de ne rien respecter de notre humanité, reçoit de l'aide d'un groupe indépendant, appelé Option Canada, dont plusieurs intervenant viennent du groupe Alcan. Sans en avoir le chiffre exact, si l'on tient compte des honoraires pour le précieux temps de ces personnages "bénévoles" des millions ont été engagées. Charest est en train de les rembourser en milliards, nos milliards.

3. Grâce à ces interventions hors système et à la connivence avec le Canada de Chrétien, le référendum est battu de justesse.

4. Le Canada en doit une à au moins un Présidents de l'Alcan, Yves Fortier et à plusieurs autres membres de la direction en plus d'autres organisations souterraines semblables. Ce sont là des actes de guerres pour empêcher l'autre (NOUS) de s'affranchir de sa domination, comme on l'a fait pour les noirs au Sud des USA et pour les noirs de l'Afrique du Sud. Un génocide est en cours. Ne riez pas.
Beaucoup de ces personnages ont occupés ou occupent encore un poste de commande à la direction de nos sociétés d'état. Est-ce la façon intelligente pour un peuple de gérer son compte de banque?

5. Dans toutes les dépenses faramineuses engagées, les Québécois ont ravalés, on s'est abstenu de s'opposer massivement au résultat du référendum, on a plutôt opter pour une prétendu justice appelée Commission Gomery, mais  seuls les détournements de fond fait par le secteur privé seront pris en compte, sans égard à la responsabilité d'Ottawa qui en était le bailleur de fond et dont les objectifs nous sont tous connus. Encore là, on s'abstient de se soulever. Que pensera la communauté internationale de cet abstention?
On ne protège pas notre majorité et l'amour des citoyens entre ceux des grands centres et ceux des régions ressources.

5. Au lendemain du Référendum, UN FÉDÉRALISTE EST ENVOYÉS PAR OTTAWA VERS QUÉBEC, JOHN JAMES CHAREST de son vrai nom avec le but de se faire élire à la première occasion. Comme on en est pas à un mensong près, il va promettre aux citoyens 1 milliard de réductions d'impôts par année pendant cinq ans et demander d'avoir les deux mains sur le volant. Personne dans les grands médias ont expliqué les inconvénients, Les citoyens doivent trouver des réponses ailleurs.

6. Charest se fait élire, le peuple ne se doute aucunement de ce que cela annonce. OU peut-être accepte-t-il? Les questions qu'on se refuse de poser, les instances internationales vont se les poser.

7. Dès lors, sous les libéraux de Charest,  TOUS LES POSTES CLÉS DE L'ÉCONOMIE DU QUÉBEC SONT OCCUPÉS PAR DES FÉDÉRALISTES ENNEMIS DU QUÉBEC.  LEUR MANDAT EST CLAIR :  VIDER NOS COMPTES ET  TRANSFÉRER NOS TERRITOIRES ET NOS BIENS comme Hydro-Québec, la Caisse de dépôt et de placement (-40 milliards$ en 2008, caché par Charest), la SAQ, etc, sous la tutelle d'Ottawa. À chaque jour qui passe, c'est de plus en plus évident. ON SE RÉVEILLE OU ON MEURT.

8. En 2004, Charest utilise la porte ouverte involontairement par Bernard Landry dans l'entente dite de "La paix des braves" pour extensionner le droit de gestion sur les réserves amérindiennes, pris de "la paix des braves" à l'ensemble des territoires du Québec, M. Landry n'est pas engagé personnellement dans ces négociations bien que son image est mise à profit dans le document, d'après moi, contre son gré.

9. Comme je vous le disait à l'item 4, le Canada en doit une au groupe Alcan.
Le premier retour d'ascenseur se présente comme suit : Charest choisit Yves Fortier, du groupe Alcan, le même que dans Option Canada (Propagande Canada), un avocat célèbre et président d'Alcan, pour négocier en notre nom un autre traité appelé "Approche commune", voir mon texte, conflits d'intérêts, que j'ai publié sur des pages entières de nos journaux régionaux, (seul endroit au Québec ou je fus toléré).

Les principaux dirigeant Amérindiens ont été choisis par la fédération. Les détails des négociations de ce traité sont tenus secrets. Ce traité se négocie entre fédéraux assis de chaque côté de la table des négociations. Louis Bernard est menotté à l'intérieur d'un cadre rigide, appelé entente de principe, pré-établi auquel il ne peut déroger.
Un référendum bidon est organisé chez ce petit groupe d'Amérindiens pour devenir le modèle témoins applicable à toutes les autres communautés par la suite. On offre ainsi à une minorité de moins de 1 % d'accepter la charge du développement de nos territoires et de nos actifs.
Le Canada veut par cette stratégie morceler le Québec en centaines de territoires qu'ils nous faudra défendre advenant un prochain référendum. Dans le même temps, notre destruction médiatique est systématique dans le reste du Canada afin d'avoir l'opinion publique Canadienne massivement contre nous en s'attaquant massivement à "notre racisme". Ça nous a déjà coûté le Labrador cette ignorance de la réalité.

Comment le Canada va t-il s'y prendre pour nous avaler si on NE FAIT RIEN?

9. Aux environ de 2006, Charest fait une publicité provinciale principalement radio, en plein été, alors que tout le monde est en vacance. Cette publicité concerne le transfert par le gouvernement du Québec des droits fonciers vers les Amérindiens. Le terme de "droits fonciers" passe mieux que celui de "territoires". Cela touche aussi la perception de taxes de la province et des municipalités auprès de tous les citoyens sur les terres développés par les Québécois. Les citoyens de Québec et de Montréal, étant en vacance, n'y voient que du feu et ils ne réalisent pas l'implication sur l'avenir de nos villes et villages.
Aujourd'hui au Saguenay, les entreprises qui veulent des contrats gouvernementaux doivent inscrire un Amérindien dans leur conseil d'administration. Pour le reste des territoires en régions, le traité de l'approche commune finira par tout avaler, car il est unilatéral et non négociable par après, voir sur www.saglacweb.com: "...Le traité sera permanent et ne pourra être dénoncé ni modifié unilatéralement par l’une ou l’autre des parties..."

Que pensera la communauté internationale de ces énoncés?  C'est une aberration. Pourquoi un peuple de 7 millions d'être humain accepteraient-ils une telle humiliation et dépouillement?

Pour se prévenir contre notre réveil, la fédération a mis au point au moins trois programmes:
a. Les accommodements raisonnables, (assimilez-vous)
b. Le contrôle des médias, Presse Canadienne de Desmarais, Radio-Canada, les écoles...
c. L'immigration unilatérale anglophone.

Un Québec francophone qui perd sa majorité perd aussi son pouvoir de négociation.

Notes:
Sous le gouvernement Lévesque, les terres de la Couronne sont devenus, Terres publiques du Québec. Maintenant, sous Charest, les terres publiques sont redevenus, Terre de la Couronne, grâce à un subterfuge, appelé: Constitution de 1982, rapatriée et modifiée unilatéralement par la fédération.  On envoie un message ambigüe au reste du monde.

Le Canada nous retire nos pouvoirs de négociation l'un après l'autre grâce à notre ignorance.
10.  Le second retour d'ascenseur envers les représentant d'Alcan se présente comme suit:
En 2007 et tout à fait exceptionnellement, le Canada accepte la vente d'un de nos fleurons, ALCAN, à l'Australienne Rio TIinto.
Une vente de 38 milliards de dollars est conclus.
Par l'approche commune négociée par le même monsieur, la nouvelle entreprise obtient des droits d'usage de nos territoires sans se voir inquiéter de libérer des emplois ni de se soucier de la population sauf pour la forme, le Canada ayant bientôt une tutelle sur les Québécois inconscients de ce qui se trame dans leur dos. Les pertes d'emplois syndiqués se multiplient présentement et on devrait surveiller une baisse des redevances, du droit de regard et du rapport de force de nos communautés sur ces même territoires.

CE QUE JE VOUS DÉCRIS ICI N'EST QUE LA POINTE D'UN ICEBERG QU'ON DÉCOUVRIRA TRÈS BIENTÔT.  Les forces Canadians nous coupent toutes les issus de secours, il est donc primordial de s'en occuper. Tous nos rapports de force s'effacent l'un après l'autre seulement parce qu'on laisse faire. Il n'y a qu'au Québec qu'une telle chose puisse se produire et notre système d'éducation y est pour quelque chose.

Lorsque nos ennemis auront atteint leur but, ce sera fini les redevance de d'Hydro-Québec, une Caisse de Dépôt démantelée, plus de SAQ.... Il restera des services à assumer qu'on n'aura plus les moyens de se payer, plus de territoires ou tirer des redevances et de sièges sociaux pour Montréal, etc.

On est tous libre d'affronter ou d'ignorer. On aura beaucoup plus de succès dans le premier choix. C'est ce que fait le Canada alors qu'on feint l'ignorance. La souveraineté demande l'attitude d'un gagnant, pas celle d'un peuple qui ravale toutes les vacheries..

Le point de non retour est pour très bientôt.
On a tout avantage à travailler ensemble dans une stratégie d'affrontement.
On a tous besoin de vous M.Rhéaume, M. Sauvé, M. Landry, M. Pomerleau, M. Archambault, M. Bertrand, et tous les autres.

VIVE LE QUÉBEC LIBRE. SORTONS LE CANADA DU QUÉBEC.LE QUÉBEC, 18e PUISSANCE MONDIALE,  N'A PAS BESOIN DU CANADA, C'EST L'INVERSE.

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