mardi
Le quotidien La Propagande
Alain Dubuc,
(et André Pratte),
du quotidien La Propagande,
Alain, dans ton récent billet tu nous ouvres enfin les yeux: un Québec souverain aurait peut-être accès à des tables de discussion, mais attention, nous préviens-tu généreusement, ce ne seraient pas des vrais tables, LA-LA-LÈ-RE ! Voilà le clou dans le cercueil de la souveraineté!
Merci! Merci à toi et aux autres Pratte, d'apporter la lumière à la plèbe pour nous éviter de nous laisser brainwasher par toutes les Pauline Marois extrémistes. À partir d'aujourd'hui, je ne suis plus souverainiste. À l'époque où je côtoyais Pratte, alors journaliste "ordinaire" à son cubicule ordinaire, il m'avait confié que sa carrière n'allait nulle part. On voit bien maintenant où elle va, il a trouvé sa voie, le léchage d'anus! Comme tu lui a bien appris!
Vous êtes sincèrement déprimants, subtils comme des deux par quatre, on vous voit venir des milles à l'avance. Mais le plus comique est que votre méprisable malhonnêteté intellectuelle ne fait que bien servir la cause sur laquelle vous vargez (je vous le dis au cas où vous ne l'auriez pas encore remarqué).
À LIRE SUR "LA VIGILE"
Allez, cashez votre chèque et mourez, mourez donc.
Pardon, je dois aller vomir.
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ahahahahahahahahahahhaha
RépondreSupprimerJe suis vraiment tout ému. Enfin quelqu'un qui exprime clairement ma pensée! Je me fais regarder comme si j'étais un extrémiste dangeureux lorsque je dis ces choses-là à mes amis.
J'ai échangé avec Dubuc sur un de ses grandioses éditoriaux à propos de l'appropriation du 24 juin par les méchants séparatistes!!! C'est rendu qu'il faudrait célébrer notre statut de province et ne pas trop parler de nation et de pays ce jour-là car on exclue les fédéralistes qui voudraient participer, mais qui sont indisposés.
Tout le West Island se meurt de danser avec nous autour du feu, mais on leur fait peur avec notre enthousiasme semblable à celui des allemands en 1938.
Quand j'ai lu dans le livre récent de Philpot qu'André Pratte est le fils d'un employé de Power Corp, j'ai tout compris...
Remarque que Lysianne Gagnon aussi se défend bien dans le domaine de la malhonnêteté intellectuelle subtilement dissimulée.
On ne voudrait tellement pas indisposer les frigides à pantalons carreautés.
RépondreSupprimerTu peux mettre le même commentaire pour cet article sur mon blogue de Voir.ca à
http://www.voir.ca/blogs/ric_messier/archive/2009/03/03/cette-bonne-vieille-pravda.aspx