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lundi

Le plan stratégique des islamistes consiste à évoluer dans l’ombre des progressistes

Le plan stratégique des islamistes consiste à évoluer dans l’ombre des progressistes. Objectif: prendre le contrôle des musulmans du pays. 



Le plan stratégique des islamistes consiste à évoluer dans l’ombre des progressistes. Ces derniers ouvrent le chemin tel un char qui avance dans une ville dévastée nommée civilisation occidentale. Le char repousse les attaques des résistants à coups de canon et brûle tout ce qui tient encore debout, vestiges insupportables d’un monde qui doit disparaître. 
Un pays privé de sa jeunesse est un pays à genoux : une terre à prendre.

Passagers clandestins du progressisme, les islamistes se laissent porter par la vague. Le jour venu, ils se retourneront contre le char et ses occupants. Bien malin qui dira quand ce jour adviendra.

Les islamistes mènent une guerre asymétrique, ils s’en prennent au « climat » général de la société qu’ils veulent modifier et non aux forces de l’ordre en particulier. Ils savent qu’ils seront écrasés par les policiers et les gendarmes s’ils s’avisent de prendre les armes pour de bon. Leur stratégie est aussi brillante que perfide : elle consiste à démobiliser la jeunesse française en la privant de l’esprit guerrier et de l’estime de soi. Un pays privé de sa jeunesse est un pays à genoux : une terre à prendre. Les jeunes détiennent le monopole de la violence spontanée, cruelle et facile à mettre en œuvre. Toutes les armées du monde le savent.

Culte du pacifisme et du «pas d’amalgame»

L’islamisme n’a pas peur de la bourgeoisie, il la méprise car il regarde ses chaînes de télévision et mesure le désarmement moral promu par ses affidés : haine de soi, érotisation permanente du réel, bannissement de la punition, culte béat du pacifisme et de la repentance etc. Il se sert d’elle comme d’une grande machine à déradicaliser la société, un mécanisme implacable qui bannit la violence défensive et tolère celle qui vient d’autrui. C’est ainsi qu’après chaque attentat, on pose des fleurs sur les lieux du massacre et chante en cœur « pas d’amalgame ». Toute attaque donne lieu à une cérémonie de « déradicalisation » collective démultipliée par les médias et les leaders d’opinion. L’essentiel est de s’injecter ensemble une dose de repentance, de bonne foi (« ne pas stigmatiser ») et de haine de soi (« l’ennemi c’est l’extrême-droite »).

Outrages répétés à l’Etat

L’usage du terrorisme s’inscrit dans la même logique : atténuer voire annuler les défenses naturelles de la société. Avec Charlie Hebdo, ce sont les journalistes, et plus généralement les intellectuels et les éditeurs, qui ont été condamnés au silence. Personne n’a envie de parler d’islam à moins de raconter des platitudes. 
Les massacres commis au Bataclan et à Nice visaient à créer des troubles intercommunautaires. Ils n’ont pas eu lieu et c’est tout à l’honneur de la France. Toutefois, l’attractivité de l’islamisme semble avoir augmenté depuis. La violence est un langage puissant et mystérieux. L’horreur pour la majorité peut représenter un appel ou une injonction à agir pour une petite minorité. Le sang cause le dégoût chez les uns et met en œuvre des énergies insoupçonnées chez les autres. Le mal-nommé Etat Islamique l’a parfaitement compris : quelques vidéos de décapitation lui ont permis d’attirer des milliers d’Européens au Levant en un temps record, ils ont laissé derrière eux le confort de l’Etat-Providence pour se jeter dans la gueule du loup à cause d’une vidéo de décapitation. La violence a souvent le dernier mot.

Renvoyer le peuple historique dans les provinces

Le deuxième volet du plan stratégique de l’islamisme est la prise en main totale des musulmans de France. Cette opération de longue haleine est une co-production signée par les progressistes et les islamistes. Les uns croient bien faire, les autres appliquent un plan bien huilé et se mettent en ordre de bataille pour récupérer la mise le moment venu.
Pour islamiser les banlieues, il faut en retirer d’urgence tous les « petits blancs ».  En effet, le Français de souche qui vit dans les « quartiers », au contact des immigrés, fait partie des populations les moins xénophobes du monde. Son mode de vie est un démenti cuisant aux thèse victimaires des islamistes, il offre une chance réelle pour l’intégration des nouveaux venus (un gros mot par les temps qui courent). 

Territoires perdus

Et si les « petits blancs » décident de rester dans leurs HLM, ils doivent être décrédibilisés et condamnés au silence parce qu’ils sont descendants de pétainistes, de colonialistes et d’esclavagistes. Ils doivent être suffisamment « apprivoisés » pour accepter les prières de rue et la loi des grands frères. Ils doivent accepter sans rechigner la disparition du postier, du médecin ou même du policier.
Des partis politiques musulmans?
Bientôt, des partis musulmans feront leur apparition. Ils s’empareront du butin électoral jusqu’à présent aux mains de la gauche. Viendra alors le moment du bras de fer qui se déroulera au sein même du système politique et non en-dehors de lui comme aujourd’hui. Il y aura les conciliateurs face aux sceptiques et autres résistants.  Et au rythme où vont les choses, les conciliateurs seront plus nombreux et auront le dernier mot : « c’est soit ça ou la guerre civile… »
La mission de la droite, si un jour elle effectue sa refondation, est de sauver les progressistes d’eux-mêmes. Pour cela, il faudrait leur disputer le monopole du changement, devenir la véritable force révolutionnaire, celle qui conduira la civilisation française vers de nouveaux rivages. La droite comme force de changement et non de réaction ou de conservatisme.

L’enjeu est de reprendre les commandes d’un bolide infernal qui roule droit vers le mur. Nous y sommes tous embarqués, malgré nous, quelles que soient nos opinions politiques. La mission de la droite est d’effectuer un atterrissage en douceur digne des valeurs républicaines. Telle est la responsabilité historique de la génération actuelle.

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