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samedi

Québec indépendant et français: une lutte juste et bonne

Réponse à un ami qui doute de la pertinence de ma lutte:

C'est sûr que notre nation est menacée de disparition; qui n'arriverait peut-être pas ou moins vite si on était hors du Canada et avec un gouvernement moins traître.

Ça arrive que des nations disparaissent.
Mais je ne laisserais pas ça arriver sans rien faire, en "conservant mon énergie pour autre chose", et surtout pas en ma taisant.
Nous ferons en sorte que l'Histoire soit toujours connue; il ne sera jamais oublié que le système fédéraste a tout fait pour exterminer sa nation fondatrice, la mienne, en plus de ceux qu'on appelle les Premières Nations.
Et ces derniers temps, les nouveaux modes de communication jouent en notre faveur, en faveur de la vérité.

Les Québécois de souche sont dans le même problème que les autochtones: nous sommes annexés par une autre nation qui a juré notre extermination.
Jusqu'à maintenant ils ont eu de la difficulté ;a y parvenir; dans leurs plans, on aurait dû disparaître il y a 100 ou même 200 ans.
Mais si la situation actuelle continue, ils vont finir par réussir.
Ceci dit la nation canadienne aussi est menacée. Mais... à bien y penser la nation canadienne, ça n'existe pas, contrairement à la mienne et aux autochtones, par exemple.

Quand je ne pourrai plus supporter les anglos, les islamopithèques mais aussi les Québécois de souche larbins et collabos (les Elvis Gratton) je vais tout faire pour déménager. Car je ne suis quand même pas Jeanne d'Arc, et de plus j'ai des objectifs de vie qui vont bien au-delà de la vie terrestre (autre long sujet...)
Je ne me battrai pas toujours pour des gens qui aiment leurs dominateurs.
Je n'en suis pas encore au point de l'abandon total, mais ça pourrait venir.

Dans ce cas, je pourrais choisir n'importe quel des 30 pays où le français est une langue officielle.
Car une langue n'est pas seulement un mode de communication, c'est un schème de pensée, et le français demeure la plus belle langue du monde sur ces deux points, j'en suis persuadé.
Je pourrais aussi choisir à peu près n'importe quel des 32 pays latino-américains, pour causes évidentes de similitude culturelle et langagière, et aussi parce qu'ils ne s'emmerdent pas avec les anglos et les islamos.
Par exemple la Bolivie, le pays le plus pauvre d'Amérique du sud où je suis allé en 2012, m'inspire énormément par son courage, son intégrité et son progressisme.

Je serais fier de participer à l'avancée de ces nations, si je finis par être définitivement convaincu que ceux de ma nation ne méritent pas mes efforts.
Je n'en suis pas encore là; j'ai failli y arriver le 7 avril 2014, mais je me donne (je nous donne) encore quelques années.
Les Québécois, paradoxalement, demeurent des résistants malgré leurs relatives mollesses.

Ma vision est mondiale (en plus d'être universelle et éternelle comme je dis plus haut) et je veux que le Québec fasse partie de ce monde en tant que pays.
Ma vision universelle et éternelle inclut une nation québécoise qui participe pleinement aux avancées du monde.

Nous n'avons pas encore basculé dans l'impossibilité de cet objectif.
Il y a encore beaucoup de choses, faire, dire et tenter, nous le ferons et j'en serai.
Tout sauf le silence.
Pour moi ce n'est pas de l'énergie perdue, c'est un projet stimulant, et un projet bon.








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