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Québec, voici ton dictateur: DESMARAIS- POWER - GESCA

Par François Harvey et l'équipe de L'ÉTINCELLE. Pour FORCES QUÉBÉCOISES
Le Québec a été victime d’un autre coup d’État (après ceux de 1840, 1867, 1970, 1982). 
 POWER
Ses institutions démocratiques ont cessé de fonctionner. 
Ceux que le peuple a désignés pour servir la patrie l’ont trahie. 
Cette trahison s’est échelonnée dans le temps tandis que les despotes qui ont pris le pouvoir chez nous insinuaient sournoisement leurs pions à tous les niveaux du pouvoir politique, des cartels financiers, de pseudos organisations culturelles et sociales, infiltrant les médias, Internet, et toutes les strates de la société. 
PAUL
Notre travail des derniers mois a consisté à documenter l’histoire et les tenants et les aboutissants de la dictature qui pèse maintenant sur nous pour nous permettre de nous en libérer. 
Nos despotes sont le clan fondé par Paul Desmarais, fondateur de Power Corporation.
Ils vivent dans leur château de Sagard, au Saguenay, protégés par une armée d’une centaine de domestiques et par GARDA, société qui leur appartient et qui leur sert de milice privée. 
Paul Desmarais père puis ses fils André Desmarais et Paul Jr président aux destinées du conglomérat et qui en projettent les tentacules aux quatre coins du monde.
Paul Desmarais Sr a fabriqué tous les premiers ministres Canadiens à partir de Pierre-Elliott Trudeau, de Brian Mulroney, de Paul Martin, il contrôlait Stephen Harper. Plus près de nous, il avait créé Lucien Bouchard. Puis il avait eu des rencontres secrètes avec Bernard Landry.
Puis il avait imposé Jean Charest, Pauline Marois et enfin Philippe Couillard, toutes pièces qu’il avait avancées tour à tour sur son échiquier pour asseoir sa domination, éliminer ses adversaires, engranger davantage de pouvoirs et de profits. 
Charest et Desmarais - caricature garnotte copie
Dans l’Opposition, les Desmarais peuvent compter sur Bob Rae et Thomas Mulcair à Ottawa et, au Québec, sur François Legault. À l’étranger, Desmarais a notamment créé l’ancien président de la France Nicolas Sarkozy qui, lorsqu'il était en délicatesse avec la justice française et venu se terrer à Morin Heights, dans les Laurentides, dans une des propriétés des Desmarais.
Pour cet homme, la vie humaine n’avait aucune importance. Il a planifié et organisé le détournement du programme de l’ONU « Pétrole contre nourriture » destiné à fournir alimentation et médicaments aux Irakiens victimes de la dictature de Saddam Hussein. 
Il a permis à celui-ci de s’enrichir de deux milliards de dollars, le tout au bénéfice de la pétrolière TOTAL dans lequel Power a de fortes participations et qui, elle, a engrangé des dizaines de milliards dans cette fraude aux proportions inouïes. 
Pour réussir son coup, il n’a pas hésité à soudoyer les plus hauts fonctionnaires de l’Organisation des Nations-Unies, dont Maurice Strong. On n’a jamais vu dans toute l’Histoire un scandale financier d’une telle ampleur. 
Il avait fait pression sur Jean Chrétien pour que le Canada n’entre pas en guerre en Iraq; tant que Saddam était au pouvoir, il s’en mettait plein les poches. On dit que le chiffre d’affaires de Power Corporation atteint maintenant les quarante milliards de dollars annuellement mais il y a tout à parier qu’il s’agit de données frauduleuses. Il est connu que les Desmarais et leur gang possèdent des fortunes éparpillées aux quatre coins du monde dans des paradis fiscaux.
Ils ont la main-mise sur la plupart des médias québécois.
Le groupe GESCA, filiale de Power, contrôle LA PRESSE, LE SOLEIL, et plusieurs autres quotidiens du Québec en plus de nombre d’hebdos régionaux. 
Et par le biais d’une entente secrète intervenue avec Radio-Canada, ils ont assis sa domination sur l’information diffusée par la Société d’État au public québécois. 
Les journalistes de Radio-Canada n’ayant pas le droit d’exprimer d’opinions, ce sont ceux de GESCA, les André Pratte et consorts, qui déversent en toute liberté la propagande desmaraisienne dans les studios de Radio-Canada. Leur influence s’étend aussi au travers des dizaines d’hebdomadaires du groupe Transcontinental.
La Presse - La Crasse - noms journalistes
POWER contrôle nombre de compagnies d’assurances, possède des participations dans nombre de sociétés de gestion, dans le bâtiment, dans la sécurité, dans l’eau notamment via le groupe SUEZ, dans les banques ici comme à l’étranger, dans des centaines de compagnies chinoises; ses complices siégeaient et siègent toujours dans les conseils d’administration de nos plus importantes sociétés d’État comme la Caisse de dépôt et de placements, Hydro-Québec, il a ses entrées dans tous les ministères, les lois, les règlements, les politiques définies par notre gouvernement sont les siennes, qu’il s’arrange pour contourner à sa guise.
Les Desmarais mènent plusieurs plans de front. Ils forcent à la construction de barrages hydroélectriques inutiles qui amènent Hydro-Québec, dont ils contrôlent les principaux acteurs, à vendre à perte l’électricité produite aux Américains. 
C’est ainsi que les Québécois, par leurs taxes, leurs impôts et leurs factures d’électricité, subventionnent directement les compagnies américaines d’électricité. 
Gageons qu’en affaiblissant ainsi Hydro lui et son gang s’apprête à privatiser cette Société d’État. 
Pendant ce temps, par le biais de LAFARGE qui appartient à Power Corp, ce gang nous vend le ciment de ses barrages dont nous payons le gros prix. 
Via EDF (Énergie de France) qu’il manipule également, il a construit un gigantesque parc d’éoliennes dans les montagnes non loin de chez lui dont Hydro-Québec achètera le courant au double du prix coûtant pour la revendre encore une fois à perte aux Américains. 
Il nous vendra ainsi notre vent.
Présent dans le pétrole, notamment sur Anticosti mais aussi partout via TOTAL, le gang Desmarais est aussi en train d’asseoir sa mainmise sur notre eau. 
Il s’est servi pour cela de politiciens qui ont fait adopter des lois facilitant la pollution et la destruction de nos cours d’eau, dictant la ligne à conduire à des firmes d’ingénierie telle BPR. 
Celle-ci, par exemple, s’est chargée de relayer ses ordres quant à la réduction des bandes riveraines des cours d’eau à des fins de protection. 
S’ensuivit à leur proximité un large épandage, à la grandeur du Québec, tout à côté de tous nos cours d’eau ou carrément dedans, aucune protection n’existant plus pour les ruisseaux de deux mètres par deux mètres, ceux qui sont à la base de tout. 
Ces épandages intensifs de lisier de porc, de fertilisants, de phosphates s’étendit pendant plusieurs années à la grandeur du Québec, directement dans nos rivières, nos lacs, nos sources d’eau potable. 
BPR et d’autres engrangèrent des milliards dans la construction d’usines de dépollution ou de filtration et de traitement des eaux. 
Nous avons payé pour ça, nous avons été victimes de ça, les coupables directs sont les Desmarais, Bernard Landry, André Boisclair, ministre de l’Environnement sous Landry, Pauline Marois, Laurent Pellerin, le président de l’UPA de l’époque, Paul Lafleur, président de BPR reconnu mondialement pour son haut degré de corruption. D’autres noms s’ajouteront, d’autres détails suivront.
Il manquait à Desmarais père d’utiliser la violence contre notre peuple. 
Il ordonna à l’hiver 2012 à Jean Charest de violenter la jeunesse en annonçant la hausse des frais de scolarité, et par cette provocation, il voulait exercer ses milices. 
Tandis que des milliards étaient divertis dans la corruption, lui, il réclamait des centaines de millions aux étudiants. 
L’exercice lui apprit que la police était à sa botte, tant la SQ que les corps policiers de province comme ceux de Sherbrooke, de Gatineau, ou encore de Québec. 
Bref, que son coup d’État était complet.
Il n’avait pas besoin de se faire élire, il avait tout le pouvoir. Enfin, pas tout à fait. 
Car les Québécois ont clairement démontré en 2012 qu’ils en a ont ras-le-bol de tous ces abus sans toujours toutefois clairement en nommer le coupable. 
Car c’est toujours en cachette, dans le silence, par personnes interposées et tandis que les médias font du brouillage qu’agit ce tyran.
Pour finir, notre despote a flagorné, fait le beau, étalé sa fortune et sa toute puissance sous de fastueux chapiteaux, occupant à Montréal toute une de nos îles pour un mariage aussi ridicule que princier. 
Son gang et lui ne se cache plus car il sont sûrs d'eux, et d’ailleurs ils se savent découverts et ils s’en moquent, certain qu’ils sont de leur puissance, de leur impunité pour tous et chacun de leurs crimes, du contrôle qu’ils exercent sur la société québécoise et sur chacun d’entre nous. 
Car ils espionnent tant qu’ils peuvent, leurs sous-fifres disposent de tout l’appareillage et des technologies nécessaires.
Mais il y a un mais. Les Québécois ne sont pas dupes, loin de là. 
Partout à travers le Québec, des gens travaillent à jeter à bas cette tyrannie. 
Les Québécois sont fiers et intelligents, ils ont une longue histoire de résistance et ils n’aiment pas se faire berner. Et ils sont rusés et astucieux.
Alors ils échangent informations, mots d’ordre, ils se mobilisent au travers de toutes sortes de luttes locales où ils apprennent le travail de terrain, où ils découvrent, identifient et constituent les dossiers des sbires locaux qui profitent du peuple et de la tyrannie. 
Le tout se fait chaque jour, depuis longtemps, et ça va à la vitesse de la lumière. 
Oh! Les machines du despote tentent bien de compromettre tous ces flux d’informations mais elles n’y arrivent pas, elles n’y arriveront jamais.

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