Le Québec réagira et se réappropriera

"John James Charest détruit nos droits et assassine la culture de ses électeurs."

Jean-Pierre Plourde, Tribune libre de Vigile, mercredi 30 mars 2011 http://www.saglacweb.blogspot.com

Voici mon commentaire sur cet article du devoir.

Les Québécois ont été trompés au point de porter leurs bourreaux au pouvoir sous de fausses représentations, voir ici.

On doit tous se réveiller et reconstruire d’urgence avec fermeté et assurance ce qu’il (Charest) a tenté de détruire.

Revalorisons notre culture, reprenons le contrôle de l’immigration, reprenons Hydro-Québec en main, exproprions les voleurs du temple qui ont traité avec Charest pour s’emparer de nos biens collectifs, des contrats seront détruits, l’envahissement de l’anglais sera arrêté, Radio-Canada reprendra sa vocation de défense de notre culture, notre fête nationale du 24 juin sera celle du français, de tous les Québécois francophones et de tous ceux qui veulent se joindre à nous.

Décrétons l’orientation unique de nos taxes vers nos institutions, établissons les normes en fonction de l’avenir de nos citoyens et favorisons l’économie de notre culture. Montréal doit redevenir francophone, prenons notre place, on l’a bien mérité.

Nous jouerons auprès des francophones d’Amérique et d’ailleurs ce que le Canada à refusé de faire chez lui envers les nôtres. On ne veux plus d’Acadiens et de Cajuns, on a compris.

Nos firmes de génie doivent impérativement être rachetées par nos francophones et travailler à promouvoir ce que l’on est. Charest s’est servi d’Hydro-Québec pour les faire se vendre aux étrangers, voir ici, on va refaire cela à l’envers et les faire racheter par nos gens.

La Caisse de dépôt va redevenir le levier financier de nos projets collectifs. Prétendre avoir récupéré, en un ou deux ans, les 40 milliards de dollars perdus est d’une hypocrisie sans nom, aucune preuve solide n’est donnée, voir ici.

Le centre de recherche de l’Hydro sera revalorisé et nos chercheurs rappelés.

On va se construire des rails entre nous et ces liens seront partagés entre amis. Le Canada devra choisir s’il veut une frontière ouverte ou fermée. S’il la veut ouverte, il a intérêt à changer de ton, MAINTENANT.

La centrale nucléaire Gentilly sera définitivement fermée et démantelée, on n'en veut pas, c’est clair !

Nos citoyens vont apprendre l’anglais, oui, mais pas seulement l’anglais car c’est déjà du passé, on va aussi leur enseigner le Mandarin et bien d’autres. On devra respecter le Québec dans son intégralité, ici, on travaille et on va continuer de travailler en français, est-ce clair?!

Nous avons payé la recherche sur la présence du gaz et du pétrole chez nous et cela va nous revenir.

Le traité dit de l’approche commune est sans valeur s'il ne tient pas compte des intérêts du peuple québécois, voir ici.

Les accommodements seront jugées raisonnables que dans le respect de notre réalité.

Québec est un pays maritime et il va le démontrer.

Si l’on ne peut pas rendre le stade olympique utile, arrêtons les frais. (...)  Le plus beau cadeau d’affirmation que l’on puisse se faire c’est de reconnaitre ses erreurs et le stade olympique est de celles-là.

Reprenons nos territoires et retirons-nous (de la fédération canadienne), on n'a rien à faire dans le même lit que notre pire ennemi, le Canada anglais qui, malgré nos appels répétés à l’amitié, continue de nous rejeter et de nous cracher dessus. C’est maintenant très bien documenté. Le Canada et ses amis se sont fait prendre les culottes baissés, les lumières sont allumées. Ils ont perdu leurs bretelles et ils n'ont nulle part pour se cacher.

Le reste du Canada nous abreuve déjà de ses injures, comme si on devait se sentir coupables de ne pas avoir été suffisamment massacrés ! Le Canada devra maintenant ravaler ses paroles ou se voir lui-même internationalement isolé. C’est maintenant au tour du Québec de parler (...)

"Le Québec est aujourd’hui et pour toujours une société distincte, libre et capable d’assumer son destin et son développement.» Robert Bourassa, ex Premier ministre du Québec, 1993 (ici) .

Nous avons un pays à construire, le nötre, le Québec, dans le respect de ses habitants et des autres peuples qui veulent bien de lui.

Québécois agissons.