La lâcheté peureuse du colonisé

Ma réponse à un ex ami devenu colonisé (malheureusement, le chapeau fait à trop de monde) :

Je pense que le plus horrible est de se camoufler derrière une fausse ouverture sur le monde pour justifier la lâcheté du colonisé. Sérieusement, j'en vomis. 

Oui, je suis en colère. 

La lâcheté, la facilité, la fuite devant la réalité, et les FAUX PRÉTEXTES prétendument vertueux.
J'ai trouvé ça pour vous.
"If the hat fits..."

"Je ne crois plus depuis longtemps à la pensée pacifiste des Tizamis de Passe-Partout et de Passe-Montagne. C'est une pensée lâche et dangereuse. Pire, criminelle. C'est la pensée des moutons en route pour l'abattoir. Ils sont «pou la pâ». Ils bêlent. «Pou la pâ». C'est ça une mentalité de COLONISÉ, une mentalité de vaincu.Vaincu d'avance.Vaincu avant d'avoir combattu." (P. Falardeau)

Cher ex-ami (tu m'as rejeté, pas moi), désolé d'avoir pété ta baloune. 
Nous progresserons sans vous et redoublerons d'effort à cause de vous, nous nous souviendrons...

Je te laisse à ton univers irréel rassurant, à tes tizamis, à Robbie et à Star Académie...

Voir le texte complet, TRÈS FORT, de Pierre Falardeau. 

" La politique n'a rien à voir avec les drapeaux qu'on agite sur des airs de chansonnettes folklorico-larmoyantes. C'est une affaire d'intérêts et de rapports de forces. Une question de vie ou de mort. Il est grand temps de cesser de croire au fair-play de nos ennemis et de faire face au réel. Froidement. Intelligemment. Courageusement. Churchill, je crois, disait: «Pour éviter la guerre vous avez choisi le déshonneur. Eh bien ! vous aurez, et la guerre, et le déshonneur.»