Puissance de l'adoration/méditation Vs la prière seule

L’adoration et la méditation se ressemblent.

Elles peuvent se faire à tout moment, dans le calme de préférence naturellement.

« La prière est un rappel du moi — une pensée sublime.
Mais l’adoration (très proche de la méditation) est l’oubli du moi — une superpensée, l’attention sans effort qui rend possible de mieux percevoir les messages d’aide et de guidance. »

« Le Père vous a fourni un MENTAL.

Le rôle le plus élevé du mental est qu’il est LE moyen de percevoir l’Esprit de Vérité, saisir les causes, reconnaitre le devoir, et cultiver un contact adorateur avec le Père de tous.
C’est la religion intérieure.
L’adoration a pour but d’anticiper sur la vie meilleure qui nous attend, et d’en refléter ensuite les nouvelles significations spirituelles sur la vie actuelle.
La prière est un soutien spirituel, mais l’adoration est divinement créative. »

« L’adoration est l’acte conscient et joyeux par lequel on reconnaît la vérité que les Créateurs ont des relations intimes et personnelles avec leurs créatures. »

« L’heure est venue de ne plus adorer Dieu sur le mont Garizim ou à Jérusalem, mais en esprit et en vérité, là où vous êtes, tels que vous êtes.

L’adoration constitue le salut pour les générations de mortels qui recherchent le plaisir.

Le secret de l’incomparable vie religieuse de Jésus était cette conscience de la présence de Dieu qu'il atteignit par une communion ininterrompue avec Dieu — et non par des directives, des voix, des visions ou des pratiques religieuses extraordinaires. »

" Il fut toujours une personnalité bien équilibrée. 

Il débordait d'enthousiasme divin, sans jamais devenir  fanatique. 

Il était émotivement actif, mais jamais instable. 

Il avait de l'imagination, mais était toujours pratique. 

Il faisait franchement face aux réalités de la vie, mais n'était jamais ennuyeux ni prosaïque. 

Il était courageux, mais jamais téméraire;   prudent, mais jamais lâche. 

Il était compatissant, mais non sentimental;   exceptionnel, mais non excentrique. 

Il était pieux, mais non bigot. 

Il était si bien équilibré parce qu'il était si parfaitement unifié.

Il n'était ni lié par la tradition, ni handicapé par soumission à des pratiques conventionnelles. 

Mais sa magnifique originalité ne lui faisait pas négliger les vérités contenues dans d'autres enseignements passés ou contemporains. 

Et le plus original de ses enseignements était l'accent mis sur l'amour et la miséricorde, au lieu de la peur et du sacrifice. "

(Livre d'Urantia p. 1102, à propos de Jésus de Nazareth) 

(Selon le livre d’Urantia)